... we have a problem ! C'est sûrement ce que se sont conjointement dit l'organisation de l'International des Feux Loto-Québec ainsi que la firme australienne Howard & Sons lorsque celle-ci a vu sa dernière chance de faire parvenir son matériel en sol montréalais échouer. En effet, le dernier départ maritime possible devait passer par Auckland, en Nouvelle-Zélande. Or, depuis décembre 2017, il n'est plus possible d'accoster en cette terre avec une cargaison de matières dangereuses. C'en était fait de la participation hautement anticipée de cette excellente firme du pays d'en-dessous à la 34e édition du concours. (L'an prochain alors ? )
Il devenait aussi impossible à cette date tardive - nous sommes à tout juste 2 semaines de l'ouverture - d'importer du matériel européen. Avec l'aide toujours aussi précieuse de Maria Grazia Gerbaudo de Panzera SAS, il fût convenu que la compagnie italienne Giuliani Fireworks, ayant un bon inventaire chez l'américaine Rozzi's Famous Fireworks qui assurait déjà le feu de clôture, allait devenir l'ultime concurrent cette année. Le propriétaire Marco Giuliani, la 5e génération, me dira à l'aide d'un interprète : 'I know how big this festival is. When we were proposed to replace Howard & Sons, I immediately said yes, even though we had much shorter time than we should have to prepare this show. We are really glad to be here !'.
Bien qu'elle participe à quelques festivals italiens, la firme centenaire est plutôt un important fabricant de pièces pyrotechniques de toutes sortes qu'une compagnie de spectacles. Le président de la firme située dans la province de Rieti s'est donc aussi associé au designer de Rozzi, Michael Lutz, afin de l'aider à traduire ses intentions pyrotechniques. 'We tried to do whatever we can to help. We wanted to give a hand where we could, so it was our pleasure to do it. We always love coming here ! It was a tough timing though, right before the 4th of July, where we have more than a hundred shows, but eh, we'll get it done !' explique Michael. L'inventaire ne permettant toutefois pas un spectacle 100% Giuliani, les artifices d'une autre italienne, Panzera, des chinoises Ikon et Vulcan, de la taïwanaise San Tai et bien sûr de Rozzi viendront appuyer les produits des Reatinis.
C'est à l'aide de plusieurs conférences-video 'WhatsApp' et de l'outil de simulation Finale Fireworks que le duo Lutz-Giuliani est arrivé à un design qui lui ressemble. Désireux de vouloir faire les choses différemment des autres firmes italiennes que nous avons pu voir au cours des dernières années à Montréal, la bande-son est ma foi très intéressante. 'We tried to do something different using an italian theme but not so traditional, it's new music you don't really hear here as italian music doesn't get out of there much. It's good music, fun, up beat, happy, some of it is about their current culture and current political problems, so some little insights into popular culture of Italy.' explique Michael. Hip hop, rap, pop-opératique, dance, dub step, seule la finale sur des airs plus classiques du Barbier de Séville et d'Andrea Bocelli risque de sonner plus familière au commun des mortels. La trame sonore rallie majoritairement des artistes italiens, mais présente aussi une jolie touche locale avec la trilingue canadienne Bella Lemme. 'It's a french-speaking town, we are american, they are italian, we tried to pulled everything together and thought it would be fun to use that song.' précise Michael. Quelle belle attention ! Je m'en voudrais de passer sous silence les 3 pièces de la soufflante violoniste américaine Lindsey Stirling; bref, nous avons là de quoi passer une excellente demie-heure !
La table est mise. Bon dernier feu en compétition !!!
Il devenait aussi impossible à cette date tardive - nous sommes à tout juste 2 semaines de l'ouverture - d'importer du matériel européen. Avec l'aide toujours aussi précieuse de Maria Grazia Gerbaudo de Panzera SAS, il fût convenu que la compagnie italienne Giuliani Fireworks, ayant un bon inventaire chez l'américaine Rozzi's Famous Fireworks qui assurait déjà le feu de clôture, allait devenir l'ultime concurrent cette année. Le propriétaire Marco Giuliani, la 5e génération, me dira à l'aide d'un interprète : 'I know how big this festival is. When we were proposed to replace Howard & Sons, I immediately said yes, even though we had much shorter time than we should have to prepare this show. We are really glad to be here !'.
Bien qu'elle participe à quelques festivals italiens, la firme centenaire est plutôt un important fabricant de pièces pyrotechniques de toutes sortes qu'une compagnie de spectacles. Le président de la firme située dans la province de Rieti s'est donc aussi associé au designer de Rozzi, Michael Lutz, afin de l'aider à traduire ses intentions pyrotechniques. 'We tried to do whatever we can to help. We wanted to give a hand where we could, so it was our pleasure to do it. We always love coming here ! It was a tough timing though, right before the 4th of July, where we have more than a hundred shows, but eh, we'll get it done !' explique Michael. L'inventaire ne permettant toutefois pas un spectacle 100% Giuliani, les artifices d'une autre italienne, Panzera, des chinoises Ikon et Vulcan, de la taïwanaise San Tai et bien sûr de Rozzi viendront appuyer les produits des Reatinis.
C'est à l'aide de plusieurs conférences-video 'WhatsApp' et de l'outil de simulation Finale Fireworks que le duo Lutz-Giuliani est arrivé à un design qui lui ressemble. Désireux de vouloir faire les choses différemment des autres firmes italiennes que nous avons pu voir au cours des dernières années à Montréal, la bande-son est ma foi très intéressante. 'We tried to do something different using an italian theme but not so traditional, it's new music you don't really hear here as italian music doesn't get out of there much. It's good music, fun, up beat, happy, some of it is about their current culture and current political problems, so some little insights into popular culture of Italy.' explique Michael. Hip hop, rap, pop-opératique, dance, dub step, seule la finale sur des airs plus classiques du Barbier de Séville et d'Andrea Bocelli risque de sonner plus familière au commun des mortels. La trame sonore rallie majoritairement des artistes italiens, mais présente aussi une jolie touche locale avec la trilingue canadienne Bella Lemme. 'It's a french-speaking town, we are american, they are italian, we tried to pulled everything together and thought it would be fun to use that song.' précise Michael. Quelle belle attention ! Je m'en voudrais de passer sous silence les 3 pièces de la soufflante violoniste américaine Lindsey Stirling; bref, nous avons là de quoi passer une excellente demie-heure !
La table est mise. Bon dernier feu en compétition !!!
*****************************************
Bande sonore de 'Songe Italien' de la firme Giuliani Fireworks de l'Italie :
TITRE - INTERPRÈTE
The Arena - Lindsey Stirling
The Arena - Lindsey Stirling
Scintille - Annalisa
La Musica non c'e - Coez
Roma-Bangkok - Baby K
Non mi avete fatto niente - Ermal Meta & Fabrizio Moro
Crystallize - Lindsey Stirling
Roma-Bangkok - Baby K
Non mi avete fatto niente - Ermal Meta & Fabrizio Moro
Crystallize - Lindsey Stirling
Italiana - J-AX and Fedez
Bambola - Betta Lemme
Occidentalis' Karma - Francesco Gabbani
Se avessi un cuore - Annalisa
First Light - Lindsey Stirling
Le Barbier de Séville : Act 1 - Cavatina: Largo al Factotum della Citta - Failoni Chamber Orchestra, Hungarian Radio Chorus, Roberto Serville & Will Humburg
Grande Amore - Il Volo
Canto della Terra - Sarah Brightman and Andrea Bocelli
Se avessi un cuore - Annalisa
First Light - Lindsey Stirling
Le Barbier de Séville : Act 1 - Cavatina: Largo al Factotum della Citta - Failoni Chamber Orchestra, Hungarian Radio Chorus, Roberto Serville & Will Humburg
Grande Amore - Il Volo
Canto della Terra - Sarah Brightman and Andrea Bocelli
Aucun commentaire:
Publier un commentaire