Si le ciel semblait clément à 20h59, l’histoire était tout autre à 21h00 ! Il n’aura fallu que quelques secondes pour que l’ondée arrive et qu'on se précipite sous le toit le plus près. Quel déluge ! De la même façon qu’on lèverait un sourcil devant un italien qui nous dit que -10°C, c’est vraiment trop froid, les représentants de Hong Kong avaient l’air de se dire ‘C’est rien ça…’. J’avoue qu’à coté de leurs fréquents typhons, cet orage samedi dernier avait plutôt l’air d’une p’tite bruine matinale…
Pluie, pas pluie, j'y vais !
21h45, il ne pleut plus. Le feu sera même devancé de 5 minutes. 21h55 le feu commence et mon parapluie est ouvert, puisqu’à nouveau, il pleut. Mais, je ne vois plus le feu… lève le parapluie, de l’eau dans les lunettes… Il ne pleut plus, ferme le parapluie, essuie les lunettes, essuie la lentille... Bon, il pleut encore, ouvre le parapluie, mais je ne vois plus le feu… lève le parapluie, de l’eau dans les lunettes… Get the point ? Vraiment, c’était du sport !
Bien que je n’aie pas tout à fait saisi le thème, force est d’admettre que la Mélodie Feng Shui a opéré, puisque ce feu s’est avéré d’une force remarquable ! Une trame sonore qui m’intriguait, annonçant différents genres tout en restant dans le son de l’Asie… Réussi ! Le Jupiter spécial pour la bande sonore vient-il de trouver preneur ? Un nombre impressionnant de ‘bombes-à-motifs’, j‘entends par là des artifices en forme de symbole martien et vénusien, en forme de yin yang, de peace, de lettres, alouette !!! Bien que l’humidité ait affecté la qualité de ces dernières, il fallait voir plus loin que l’orage et réaliser l’ampleur du travail. Et que dire de toutes ces autres pièces pyrotechniques si colorées, joliment bien disposées autant dans les airs que sur mer (bon, ok, sur le lac…). Un synchronisme, une symétrie hors-pair. Un feu rythmé sans tombé dans l’extravagance, et entraînant jusqu’à la toute fin. Une recette gagnante, c’est certain.
21h45, il ne pleut plus. Le feu sera même devancé de 5 minutes. 21h55 le feu commence et mon parapluie est ouvert, puisqu’à nouveau, il pleut. Mais, je ne vois plus le feu… lève le parapluie, de l’eau dans les lunettes… Il ne pleut plus, ferme le parapluie, essuie les lunettes, essuie la lentille... Bon, il pleut encore, ouvre le parapluie, mais je ne vois plus le feu… lève le parapluie, de l’eau dans les lunettes… Get the point ? Vraiment, c’était du sport !
Bien que je n’aie pas tout à fait saisi le thème, force est d’admettre que la Mélodie Feng Shui a opéré, puisque ce feu s’est avéré d’une force remarquable ! Une trame sonore qui m’intriguait, annonçant différents genres tout en restant dans le son de l’Asie… Réussi ! Le Jupiter spécial pour la bande sonore vient-il de trouver preneur ? Un nombre impressionnant de ‘bombes-à-motifs’, j‘entends par là des artifices en forme de symbole martien et vénusien, en forme de yin yang, de peace, de lettres, alouette !!! Bien que l’humidité ait affecté la qualité de ces dernières, il fallait voir plus loin que l’orage et réaliser l’ampleur du travail. Et que dire de toutes ces autres pièces pyrotechniques si colorées, joliment bien disposées autant dans les airs que sur mer (bon, ok, sur le lac…). Un synchronisme, une symétrie hors-pair. Un feu rythmé sans tombé dans l’extravagance, et entraînant jusqu’à la toute fin. Une recette gagnante, c’est certain.
Bien fignolé, mais...
Mon seul hic, tel que mentionné plus haut, le thème… La narration de départ est certes tombée à l’eau, noyée par des bombes trop sonores. Et avouez qu’il est difficile de représenter le Bois, non ? Bien que chaque chanson ait été pensée pour bien représenter les éléments, le lien ne semblait pas si évident pour le public. Mais peut-être fallait-il simplement recevoir ce feu, sans nécessairement le comprendre ? Le Feng Shui est un art si subtil…
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