J’ai oublié ma règle d’or : Se présenter sans attente à un feu. Trop énervée d’étirer ma saison avec des super feux au Casino, trop énervée de revoir un ami après un an, trop énervée de revoir Pains Fireworks après 4 ans. …2 mois moins 6 jours.
J’avais pourtant été mise en garde par le concepteur lors de mon entrevue à propos d’une inquiétude : ‘The thing I’m a little bit worried about is that we used all our pyros from the host company’s catalog, and the only slight issue is, this week, they’re out of everything so… I’m a bit worried but hopefully they can replace, but we got to sit down tomorrow (NDLR dimanche) and look at the script and yeah… see how it comes out in the end. It’s a really shame cuz we didn’t know about it until this week so…’.
Bref, samedi soir, c’était un très bon feu du Royaume-Uni, mais probablement pas à la hauteur de leur capacité, et donc je suis un peu restée sur mon appétit. Après son feu, Tim Griffiths m'a dit : 'The things I was worried about before, about not having a massive range of products, I think if you know about fireworks that would be an issue, but I think for the public it was not that noticeable.’ Hmmm… je ne suis pas certaine. Le public gatinois en a vu d’autres. Et ont surtout vu les mêmes bombes cette année, ça pourrait jouer en défaveur des Anglais. Et quand tu réduis à quelques dollars, une séquence qui en valait près de deux milles, forcément, le résultat n’est pas le même. Il semble évident que n’utilisant pas leurs artifices réguliers, la firme Pains Fireworks n’a pas présenté le feu qu’elle pouvait. Bien que le design était intéressant, il y eu quelques moments de ciel noir et quelques répétitions dans les modèles de tir, tout ça fait en sorte que, oui j'ai bien aimé le feu et bonne musique et tout, mais je ne crois pas que je le mettrai sur mon petit podium personnel. Il manquait ce je-ne-sais-quoi.
Parlant podium, c’est samedi que nous connaîtrons l’issue de la 18e édition des Grands Feux du Casino du Lac-Leamy, suivi tout de suite après par le feu de clôture.
J’avais pourtant été mise en garde par le concepteur lors de mon entrevue à propos d’une inquiétude : ‘The thing I’m a little bit worried about is that we used all our pyros from the host company’s catalog, and the only slight issue is, this week, they’re out of everything so… I’m a bit worried but hopefully they can replace, but we got to sit down tomorrow (NDLR dimanche) and look at the script and yeah… see how it comes out in the end. It’s a really shame cuz we didn’t know about it until this week so…’.
Bref, samedi soir, c’était un très bon feu du Royaume-Uni, mais probablement pas à la hauteur de leur capacité, et donc je suis un peu restée sur mon appétit. Après son feu, Tim Griffiths m'a dit : 'The things I was worried about before, about not having a massive range of products, I think if you know about fireworks that would be an issue, but I think for the public it was not that noticeable.’ Hmmm… je ne suis pas certaine. Le public gatinois en a vu d’autres. Et ont surtout vu les mêmes bombes cette année, ça pourrait jouer en défaveur des Anglais. Et quand tu réduis à quelques dollars, une séquence qui en valait près de deux milles, forcément, le résultat n’est pas le même. Il semble évident que n’utilisant pas leurs artifices réguliers, la firme Pains Fireworks n’a pas présenté le feu qu’elle pouvait. Bien que le design était intéressant, il y eu quelques moments de ciel noir et quelques répétitions dans les modèles de tir, tout ça fait en sorte que, oui j'ai bien aimé le feu et bonne musique et tout, mais je ne crois pas que je le mettrai sur mon petit podium personnel. Il manquait ce je-ne-sais-quoi.
Parlant podium, c’est samedi que nous connaîtrons l’issue de la 18e édition des Grands Feux du Casino du Lac-Leamy, suivi tout de suite après par le feu de clôture.
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