Après Roméo & Juliette (France 2007) et la Légende des Amants-Papillons (Chine 2008), voici une autre grande histoire d'amour qui nous sera présentée samedi soir : celle d'Éros et Psyché. Une histoire classique 'déterrée' par l'un des fils Masson, Marc, qui a fait ses études en anthropologie. Une histoire mettant en vedette Aphrodite, maladivement jalouse de la beauté de cette mortelle Psyché qui ordonne à Éros, le Dieu de l'Amour de la marier à un homme hideux. Éros se fera toutefois prendre à son propre piège... La voix envoûtante de Raymond Bouchard et le spectacle de BEM sauront-ils vous charmer ?
Chose certaine, Bernard Masson, propriétaire de la compagnie québécoise dit avoir mis beaucoup d'effort pour mettre en scène un beau spectacle que les gens apprécieront. Le Canada ayant remporté les Jupiter d'Or 2009 et 2010, vit-il une pression supplémentaire ? "Les prix, c'est un belle cerise sur le sundae. Un tour du chapeau, ça serait quelque chose, mais le but premier c'est de présenter un beau spectacle et on a travaillé très fort pour ça".
En effet, toute la famille a travaillé très fort. Marc pour les dialogues, son frère Paul pour la musique, la conception, et papa Bernard quant à lui a beaucoup voyagé pour dénicher les produits les plus appropriés aux effets désirés. Pas facile d'en mettre plein la vue à Montréal. Les autres compétitions internationales, très peu pour lui. "Aucune compétition n'égale celle de la Ronde. Les conditions sont différentes, les sites de lancement moins imposants, le budget...; ici, on a un excellent support technique, et c'est chez nous alors c'est très intéressant".
Une trame sonore classique pour laquelle Paul a fait plusieurs recherches, promet de bien marier le rythme aux émotions. Debussy, Mozart, Strauss et attention, une finale qui s'annonce grandiose sur papier, le Boléro de Ravel. J'ai bien hâte. Place demain soir à notre pays !
Chose certaine, Bernard Masson, propriétaire de la compagnie québécoise dit avoir mis beaucoup d'effort pour mettre en scène un beau spectacle que les gens apprécieront. Le Canada ayant remporté les Jupiter d'Or 2009 et 2010, vit-il une pression supplémentaire ? "Les prix, c'est un belle cerise sur le sundae. Un tour du chapeau, ça serait quelque chose, mais le but premier c'est de présenter un beau spectacle et on a travaillé très fort pour ça".
En effet, toute la famille a travaillé très fort. Marc pour les dialogues, son frère Paul pour la musique, la conception, et papa Bernard quant à lui a beaucoup voyagé pour dénicher les produits les plus appropriés aux effets désirés. Pas facile d'en mettre plein la vue à Montréal. Les autres compétitions internationales, très peu pour lui. "Aucune compétition n'égale celle de la Ronde. Les conditions sont différentes, les sites de lancement moins imposants, le budget...; ici, on a un excellent support technique, et c'est chez nous alors c'est très intéressant".
Une trame sonore classique pour laquelle Paul a fait plusieurs recherches, promet de bien marier le rythme aux émotions. Debussy, Mozart, Strauss et attention, une finale qui s'annonce grandiose sur papier, le Boléro de Ravel. J'ai bien hâte. Place demain soir à notre pays !
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